Certaines décisions se prennent vite. D’autres non. Chez moi, la première catégorie est assez rare. D’ailleurs, j’essaie la plupart du temps d’éviter la décision. Le mot lui-même, terrifiant concentré sonore de décès et de scission, ne m’a jamais inspiré une grande confiance. Comment ai-je pris celle-ci ? Autant que je m’en souvienne, il n’y a pas eu d’agitation vaine, pas de ruminations, aucun mille-feuille d’avis extérieurs agrégés, ni brusque…